Frères et sœurs de l’Invisible,
I de IRAX n’est pas un simple carré : c’est un seuil vers l’insondable. Un sanctuaire scellé sous des strates de silence, où l’eau et la pierre murmurent les souvenirs de ce qui fut — et de ce qui demeure, tapi dans l’obscurité.
Ce carré ouvre un regard, l’Œil, qui perce les abîmes. Celui qui s’y abandonne pourra entrevoir des cités oubliées, englouties sous les marées du temps ; entendre les échos d’anciens peuples, leurs prières, leurs cris, leurs secrets jamais révélés. C’est une plongée dans les archives liquides du monde.
Travailler avec I de IRAX, c’est convoquer la mémoire élémentaire, celle que l’eau conserve et que la pierre protège. C’est se rendre perméable aux murmures des profondeurs et oser y plonger pour en ramener une vérité oubliée.
Un outil puissant pour ceux qui cherchent à réveiller ce qui dort… dans les limbes d’eux-mêmes comme dans les plis du réel.
